mercredi 3 avril 2013


Je viens de terminer un repas de coquillages ouverts accompagnés d'un os à moelle gratiné et la graisse de mes couverts posés sur le set de table en papier me révèle une tête d'animal, apparition spectrale. 
Je viens d'achever la lecture de Ladivine de Marie NDiaye (éditions Gallimard) où la présence d'un chien, menace ou protection, donne au récit son étrangeté, son nerf, son suif. 

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